Le rêve de Felipe

Felipe rêvait d’aller sur un bateau

Les génies d’Aladin ont réalisé le rêve de Felipe qui a pu tester 2 bateaux : un bateau à voiles et un bac.
Quoi de mieux que la voix de Felipe pour raconter son rêve en question/réponse:
Quelle est l’origine de ton rêve ?
J’habite à Bordeaux et quand on va se promener sur les quais à vélo je vois souvent de gros bateaux qui m’impressionnent et qui me donnent envie de monter à bord et partir.

Quelle fut ta réaction à l’annonce de la réalisation de ton rêve ?
J’étais très content, j’ai posé beaucoup de questions à mes parents pour en savoir plus sur les types de bateaux qu’on allait rencontrer et sur la durée de la croisière.

Que retiens-tu du déroulement de ton rêve ?
On est allés sur un voilier avec beaucoup de cordes et où on avait pas beaucoup de place, il a quand même un moteur mais on l’a allumé que pour partir et arriver sinon c’est le vent qui nous emmenait.
Et le bac, c’est complètement différent. Il est énorme ! J’ai adoré regarder les voitures, les camions et les cyclistes embarquer sur le bac, on peut mettre jusque 150 voitures ! La passerelle, la salle des commandes, elle est tout en haut. Ça m’a fait un peu peur d’y entrer mais après ça allait. Il y avait un monsieur qui conduisait le bateau avec les pieds !

La réalisation de ton rêve a-t-elle une influence sur ta vie aujourd’hui ?
J’ai dit à mes parents que je voulais retourner au Verdon, c’est génial là-bas, il y a de grandes plages et je peux faire plein de châteaux de sable. Je voudrais retourner sur un voilier mais si je veux naviguer tout seul un jour il faudra que j’apprenne à nager, je vais peut-être commencer cet été.

Et en complément le joli retour de la famille:
« Merci à toute l’équipe d’Aladin pour ce beau week-end que vous nous avez offert ! Merci à vous [..] d’avoir pensé à tous les détails et de vous impliquer humainement aussi bien que vous le faites. Votre engagement honorable et précieux reçoit toute notre reconnaissance. Vous avez soufflé du vent dans nos voiles et très bientôt nous arriverons à bon port. Mille mercis, »